Pour ce numéro, les axes de réflexion suivants ont été identifiés :
– Un premier volet sera consacré à la description des initiatives actuellement en cours de la part de grandes institutions, d’universités, de collectivités ou encore d’organismes privés pour développer la recherche. Notre souhait est de faire appel aux acteurs de terrain pour décrire ce qui marche, comme la recherche utilisant des sources d’archives notamment, et ce qui peine à émerger sur des domaines plus métier alors que la formation des futurs professionnels pourrait en être enrichie.
– Un second volet traitera plus particulièrement de la recherche sur l’archivistique elle-même, en faisant un état des lieux des champs couverts à l’heure actuelle et de ceux qui restent en déshérence, en attirant l’attention sur le fait que ce qui évoque les différents aspects du métier fait appel à l’interdisciplinarité (histoire, droit, informatique...). Un article sur l’archivistique en tant que science ou non pourrait introduire questionnement et débat. Des travaux déjà réalisés pourraient y être évoqués.
Enfin, dans cette partie serait décrite l’initiative de l’AAF et le chercheur ayant reçu une aide serait invité à détailler son travail.
– Dans la troisième partie des perspectives pourraient être ouvertes avec la recherche en Europe et à l’international et sur ce qui permettrait à la recherche en archivistique française/francophone de trouver une dynamique durable.
Si cette problématique vous intéresse vous êtes chaleureusement invité.e.s à proposer une contribution et, si vous en avez la possibilité, une aide pour la coordination d’ici le 1er octobre au plus tard auprès du pôle Éditions de l’AAF ainsi que de Dominique Naud et Hélène Chambefort (editions@archivistes.org, nauddominique@orange.fr, helene.chambefort@inserm.fr). La proposition de contribution sera sous la forme d’un texte de 500 mots maximum (avec titre, nom et prénom du/des auteur(s), institution de rattachement, mail et numéro de téléphone).