Forum des archivistes, 20 au 22 mars 2013

« Les archives, aujourd’hui et demain » : appel à communication

7 jours, c’est le temps qu’il vous reste pour proposer votre communication.

vendredi 14 septembre 2012
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L’AAF orga­nise le pre­mier Forum des archi­vis­tes à Angers du 20 au 22 mars 2013.
Il répon­dra à dif­fé­ren­tes carac­té­ris­ti­ques : réunir tous les pro­­fes­­sion­­nels des archi­­ves dans un espace dédié et pré­sen­ter des confé­­ren­­ces, ate­­liers, tables ron­­des ani­­més par des pro­­fes­­sion­­nels des archi­­ves.

Il per­met­tra également de dis­po­ser d’un espace par­­te­­nai­­res (com­­mer­­ciaux et non com­­mer­­ciaux) et d’un espace d’échange infor­­mel afin de valo­­ri­­ser l’archi­­viste et ses réa­­li­­sa­­tions, d’orga­ni­ser l’Assemblée géné­­rale, l’élection du nou­­veau Conseil d’admi­­nis­­tra­­tion et du nou­­veau Président de l’AAF, de pro­fi­ter d’un temps asso­­cia­­tif consa­­cré aux sec­­tions et com­­mis­­sions com­­po­­sant l’Association et d’un pro­­gramme convi­­vial, de visi­­tes et de soi­­rées orga­­ni­­sées.

Cet événement, qui réu­nira tous les archi­vis­tes, quels que soient leur statut ou leur pro­ve­nance, offre une occa­sion unique de réflé­chir à des pro­blé­ma­ti­ques com­mu­nes et de les porter sur la place publi­que (le forum).
5 thèmes vous sont pro­po­sés :
 Thème 1. Les échelles : col­lecte, struc­ture, concen­tra­tion
 Thème 2. Quels modè­les économiques pour les archi­ves ?
 Thème 3. Traitement des archi­ves : nou­vel­les archi­ves, nou­vel­les pra­ti­ques ?
 Thème 4. Nouveaux rap­ports aux publics
 Thème 5. Archives et archi­vis­tes : repré­sen­ta­tions et regards

Retrouvez les réflexions asso­ciées à ces thèmes dans l’appel à com­mu­ni­ca­tion et faites enten­dre votre voix : pro­po­sez vous-même une contri­bu­tion ou bien sug­gé­rez un contri­bu­teur grâce au mode d’emploi.

Bienvenue à Angers 2013 !

Le comité scien­ti­fi­que

Thème 1. Les échelles : collecte, structure, concentration

Les réor­ga­ni­sa­tions ins­ti­tu­tion­nel­les (Révision géné­rale des poli­ti­ques publi­ques – RGPP ; Réorganisation de l’admi­nis­tra­tion ter­ri­to­riale de l’État – RéATE ; Réforme ter­ri­to­riale des col­lec­ti­vi­tés loca­les) et la concen­tra­tion des entre­pri­ses à l’échelle euro­péenne voire mon­diale pour abais­ser les coûts, domi­ner le marché et se pro­té­ger des concur­rents modi­fient en pro­fon­deur la place du ser­vice d’archi­ves au sein de son orga­ni­sa­tion.

Le ser­vice d’archi­ves, qui se doit de rester au plus près des modes de ges­tion de ses pro­duc­teurs pour col­lec­ter et contrô­ler, se trouve ainsi au cœur des réflexions stra­té­gi­ques de gou­ver­nance.

 L’orga­ni­sa­tion actuelle des ser­vi­ces d’archi­ves est-elle tou­jours adap­tée à un pay­sage ins­ti­tu­tion­nel et économique -désor­mais- en per­pé­tuelle évolution, qu’il s’agisse de l’orga­ni­sa­tion et des com­pé­ten­ces ter­ri­to­ria­les des ser­vi­ces publics, ou des fusions, scis­sions ou acqui­si­tions pour les entre­pri­ses ?
 Quelle est la place du ser­vice d’archi­ves fran­çais dans une entre­prise supra natio­nale ?
 Du point de vue fonc­tion­nel, doit-on s’orien­ter vers une sépa­ra­tion du ser­vice d’archi­ves en deux enti­tés dis­tinc­tes à l’anglo-saxonne, avec un records mana­ger chargé de la col­lecte et du contrôle des docu­ments d’acti­vité de son orga­ni­sa­tion ; et un archi­viste à la tête d’une ins­ti­tu­tion patri­mo­niale char­gée d’accueillir et de valo­ri­ser les archi­ves défi­ni­ti­ves d’un ter­ri­toire, d’une entité… (concen­tra­tion ver­ti­cale pour les fonc­tions ou mutua­li­sa­tion hori­zon­tale pour les ter­ri­toi­res) ? Verra-t-on les ser­vi­ces d’archi­ves passer d’une fonc­tion de conser­va­tion à celle de pilo­tage et de régu­la­tion ?
 Les tech­no­lo­gies de l’infor­ma­tion peu­vent-elles offrir aux dif­fé­rents publics un accès sim­pli­fié à un patri­moine archi­vis­ti­que qui se com­plexi­fie dans sa pro­duc­tion, dans sa col­lecte et par consé­quent dans sa mise à dis­po­si­tion ?

Thème 2. Quels modèles économiques pour les archives ?

Depuis la Révolution fran­çaise, les archi­ves publi­ques sont consi­dé­rées comme un patri­moine commun à l’ensem­ble de la nation. Au-delà même du phé­no­mène des natio­na­li­sa­tions, les archi­ves des entre­pri­ses et des autres acteurs sociaux privés ont sou­vent été per­çues comme fai­sant partie du patri­moine commun à l’ensem­ble de la société.
La crise de l’État pro­vi­dence, la mar­chan­di­sa­tion crois­sante de biens consi­dé­rés comme com­muns, l’irrup­tion de l’économie numé­ri­que, l’exter­na­li­sa­tion de tout ou partie de la chaîne archi­vis­ti­que, la redé­fi­ni­tion de l’inté­rêt géné­ral amè­nent à penser ou repen­ser la pos­si­bi­lité, voire la néces­sité d’un modèle économique des archi­ves.

Que ce soit dans une logi­que orga­ni­sa­tion­nelle (admi­nis­tra­tive ou d’entre­prise), juri­di­que ou patri­mo­niale, les archi­vis­tes, comme les autres pro­fes­sions de l’infor­ma­tion, doi­vent appor­ter la preuve d’une valeur ajou­tée dans leur trai­te­ment de l’infor­ma­tion.
L’ « info­bé­sité », accen­tuée par le déve­lop­pe­ment de l’Internet et du mul­ti­mé­dia, rend encore plus néces­saire l’apport de pro­fes­sion­nels pou­vant ren­for­cer l’intel­li­gence col­lec­tive.
Cette valeur ajou­tée doit-elle se tra­duire par une indi­vi­dua­li­sa­tion de la consom­ma­tion d’infor­ma­tions, voire par le déve­lop­pe­ment de pro­duits déri­vés et d’une poli­ti­que tari­faire ten­dant vers l’auto-finan­ce­ment et le ren­for­ce­ment de nou­veaux mar­chés ? La néces­sité de « défen­dre » son budget, dans un contexte contraint, est de plus en plus forte …

Ou doit-elle être pensée comme l’enri­chis­se­ment col­lec­tif de « biens com­muns de la connais­sance » à finan­cer par les struc­tu­res pri­vées (ne serait-ce que pour leur image de marque ou leur poli­ti­que de com­mu­ni­ca­tion) et publi­ques (le citoyen-contri­bu­teur se sub­sti­tuant au client) ?
De quelle société de la connais­sance les ser­vi­ces d’archi­ves veu­lent-ils être partie pre­nante ? Et de quels moyens, de quels pro­jets se dotent-ils pour cela ? Comment chacun(e) a-t-il notam­ment abordé la ques­tion de la réu­ti­li­sa­tion des don­nées publi­ques ?

Thème 3. Traitement des archives : nouvelles archives, nouvelles pratiques ?

Depuis l’arri­vée des nou­vel­les tech­no­lo­gies, les ser­vi­ces d’archi­ves font de plus en plus sou­vent face à des situa­tions qui deman­dent une adap­ta­tion et une nou­velle connais­sance des dif­fé­rents outils infor­ma­ti­ques. Dans le contexte électronique, l’objet archi­vis­ti­que connaît en effet une muta­tion consé­quente. Il ne s’agit plus seu­le­ment de conser­ver l’archive, mais aussi toutes les infor­ma­tions s’y rap­por­tant, qu’elles soient tech­ni­ques, des­crip­ti­ves, etc. Les don­nées électroniques sont consi­dé­rées le plus sou­vent comme des com­po­san­tes des sys­tè­mes d’infor­ma­tion pou­vant avoir une valeur mar­chande sus­cep­ti­ble d’aug­men­ter au fil du temps. Dans ce contexte, com­ment l’archi­viste peut-il être acteur et défen­dre la valeur pro­bante de l’archive ? Comment appré­hen­der et déli­mi­ter le péri­mè­tre de la col­lecte à l’heure où de nou­vel­les écritures numé­ri­ques se dif­fu­sent et où le « docu­ment » numé­ri­que est sans cesse décom­posé et recom­posé ? La cons­ti­tu­tion d’archi­ves électroniques ne peut-elle pas être aussi un moyen d’expres­sion indi­vi­duelle (nou­vel­les formes d’expres­sion artis­ti­que, blogs, médias sociaux, etc.) dans l’open data où les fron­tiè­res entre vie privée et vie publi­que ten­dent à s’estom­per ?

La col­lecte des don­nées infor­ma­ti­ques est un véri­ta­ble enjeu car elle condi­tionne plei­ne­ment leur authen­ti­cité, leur inté­grité, leur trai­te­ment archi­vis­ti­que, leur péren­ni­sa­tion et leur com­mu­ni­ca­tion sécu­ri­sée. L’archi­viste ne doit-il pas s’inter­ro­ger sur de nou­vel­les pra­ti­ques de tri et de des­crip­tion ? Comment conti­nuer à appli­quer le prin­cipe de res­pect des fonds et com­ment four­nir des infor­ma­tions de contex­tua­li­sa­tion ? Comment mettre en place une poli­ti­que de veille et de conser­va­tion numé­ri­que ? Ne faut-il pas conce­voir de nou­veaux modè­les économiques pour les ser­vi­ces d’archi­ves en pre­nant en compte les exi­gen­ces du déve­lop­pe­ment dura­ble et les solu­tions de mutua­li­sa­tion ? Ne faut-il pas repen­ser les bâti­ments d’archi­ves tant pour l’orga­ni­sa­tion des dépôts que pour les espa­ces d’accueil des publics ? Le contexte électronique démul­ti­plie les modes d’accès à l’infor­ma­tion. Les pro­fes­sion­nels de l’infor­ma­tion n’ont-ils pas une res­pon­sa­bi­lité encore plus grande dans l’appren­tis­sage par les uti­li­sa­teurs de l’inter­pré­ta­tion des sour­ces électroniques ? Ne doi­vent-ils pas s’orien­ter vers de nou­vel­les pra­ti­ques de média­tion ?

Thème 4. Nouveaux rapports aux publics

Si la com­mu­ni­ca­tion appa­raît comme un enjeu dans l’his­toire longue des ser­vi­ces d’archi­ves, publics comme privés, la ques­tion des « publics » ne s’est impo­sée que très pro­gres­si­ve­ment au cours du XXe siècle. Les évolutions récen­tes ques­tion­nent la défi­ni­tion même du ou des public(s), - cher­cheurs ? lec­teurs ? usa­gers ? clients ?etc. -, et la rela­tion dyna­mi­que entre une pro­fes­sion et la société, à dif­fé­ren­tes échelles locale, natio­nale et inter­na­tio­nale.

Contributions, témoi­gna­ges et débats s’arti­cu­le­ront autour de trois gran­des inter­ro­ga­tions :

 La place des pro­duc­teurs d’archi­ves : com­ment évoluent les consul­ta­tions par les ser­vi­ces ver­sants des admi­nis­tra­tions ? La notion d’archi­ves « inter­mé­diai­res » a-t-elle tou­jours du sens à l’heure du record mana­ge­ment ? Quelles sont les consé­quen­ces de l’évolution vers de nou­veaux sup­ports électroniques per­met­tant aux pro­duc­teurs de conser­ver eux-mêmes une large partie de l’infor­ma­tion qu’ils pro­dui­sent ? Comment évolue, dans la loi et la pra­ti­que, la consul­ta­tion des dépo­sants, tant privés que publics, dans les auto­ri­sa­tions de consul­ta­tions et l’octroi de déro­ga­tions ?

 L’évolution de la demande attire-t-elle vers les Archives des publics ayant des deman­des et des carac­té­ris­ti­ques dis­tinc­tes, en termes de fonds à clas­ser et ouvrir, ou encore de répon­ses et de rela­tion au public ?
Comment gérer les sol­li­ci­ta­tions liées au besoin crois­sant de jus­ti­fier des droits vis-à-vis de l’admi­nis­tra­tion. Comment accueillir cette popu­la­tion davan­tage cliente ou uti­li­sa­trice d’un ser­vice que cher­cheuse ?

La démar­che mémo­rielle à l’échelle indi­vi­duelle ou col­lec­tive, natio­nale ou trans­na­tio­nale, entraîne-t-elle de nou­vel­les deman­des ? Quelle est notam­ment l’évolution de la démar­che des généa­lo­gis­tes, au-delà de l’appé­tit bien iden­ti­fié pour les archi­ves d’état-civil et nota­ria­les ?
Comment la ten­sion entre exi­gence d’accès et de trans­pa­rence et pro­tec­tion de la vie privée est-elle vécue par les dif­fé­rents acteurs pour les archi­ves contem­po­rai­nes depuis la loi de 2008 ? Peut-on dire que les deman­des des publics conver­gent vers tou­jours plus de déma­té­ria­li­sa­tion (inven­tai­res, docu­ments numé­ri­sés), com­ment inter­pré­ter et gérer cet essor de l’accès à dis­tance ?

 La dyna­mi­que de la démar­che de valo­ri­sa­tion, entre pro­po­si­tions faites en direc­tion des publics et demande sociale en pro­ve­nance des publics : com­ment évolue la rela­tion avec les ensei­gnants du pri­maire, du secondaire, du supé­rieur ? Les publi­ca­tions, les expo­si­tions évoluent-elles également vers une déma­té­ria­li­sa­tion crois­sante au détri­ment du contact phy­si­que ou visuel avec les docu­ments, com­ment penser la mise en scène des archi­ves ? Faut-il aller au-devant de nou­veaux publics ? Faut-il déve­lop­per des expo­si­tions, des lec­tu­res d’archi­ves, des ate­liers éducatifs iti­né­rants (dans les quar­tiers ou les com­mu­nes) ? Comment valo­ri­ser le patri­moine via les réseaux sociaux et les sites de par­tage de photos ? Peut-on parler de valo­ri­sa­tion col­la­bo­ra­tive ?

La ques­tion des publics peut également être reprise à tra­vers le prisme de l’inter­cultu­ra­lité : dans les socié­tés contem­po­rai­nes com­plexes, com­ment la pers­pec­tive inter­cultu­relle influe-t-elle sur ce qui pour­rait cons­ti­tuer un patri­moine archi­vis­ti­que commun ?

Thème 5. Archives et archivistes : représentations et regards

Longtemps consi­dé­rées comme des « objets trou­vés » par les his­to­riens peu enclins à s’inter­ro­ger sur le par­cours du carton arri­vant sur leur table, les archi­ves sont entrées depuis quel­ques années dans le champ d’étude des scien­ces socia­les. Dans le même temps, les archi­vis­tes davan­tage sol­li­ci­tés, voire expo­sés, dans la vie publi­que, ont mené une réflexion sur leur rôle social.

Contributions, témoi­gna­ges et débats de ce thème s’arti­cu­le­ront autour de quatre gran­des inter­ro­ga­tions, à trai­ter sous forme de bilan ou de pros­pec­tive :
 Qu’est-ce que les archi­ves ? Au-delà de la défi­ni­tion donnée par la loi, l’évolution des pra­ti­ques sou­lève bien des ques­tions sur la notion elle-même : quel est le sens et la per­ti­nence du succès crois­sant du terme « Archive » au sin­gu­lier ? La déma­té­ria­li­sa­tion des don­nées conduit-elle à une dis­pa­ri­tion des archi­ves au profit de l’infor­ma­tion ? A contra­rio, com­ment réflé­chir sur le lien entre archi­ves et patri­moine, jusqu’où étendre la maté­ria­lité des archi­ves (pho­to­gra­phies, ins­tru­ments scien­ti­fi­ques, vête­ment, etc.) ?
 Archives, poli­ti­que et his­toire : enjeu des poli­ti­ques inté­rieu­res et des rela­tions inter­na­tio­na­les depuis le Moyen Âge, les archi­ves sont-elles consi­dé­rées dif­fé­rem­ment par les pou­voirs publics depuis la fin du XXe siècle ? La « neu­tra­lité » poli­ti­que de l’archi­viste a-t-elle tou­jours un sens ? Quels ont été les impacts dans ce domaine des poli­ti­ques de décen­tra­li­sa­tion, des trans­ferts de sou­ve­rai­neté euro­péens, de la judi­cia­ri­sa­tion crois­sante de la vie poli­ti­que et économique, natio­nale comme inter­na­tio­nale ?
 L’image de l’archi­viste en France au XXIe siècle : com­ment est-il perçu par le citoyen, par l’his­to­rien pro­fes­sion­nel ? Quels sont les apports de l’anthro­po­lo­gie et de l’eth­no­lo­gie sur le métier d’archi­viste (gestes de la col­lecte, du clas­se­ment, de la des­truc­tion) ? Quel dia­lo­gue avec une concep­tion « sau­vage » ou sociale de ces mêmes gestes ? Qu’attend-t-on de l’archi­viste au sein des orga­nis­mes publics et privés ? Quelle image d’eux-mêmes et de leur pro­fes­sion les archi­vis­tes sou­hai­tent-ils porter ? Quels sont les leviers dont ils dis­po­sent au sein de leur orga­nisme (sec­teur public et privé) mais aussi des orga­ni­sa­tions pro­fes­sion­nel­les natio­na­les et inter­na­tio­na­les pour la cons­truire et la véhi­cu­ler ?
 Les archi­ves sai­sies par l’écriture et l’art. : artis­tes et écrivains mobi­li­sent les archi­ves dans leur tra­vail sur la mémoire, l’his­toire poli­ti­que ou fami­liale, les traces sen­si­bles du passé. Philosophes et psy­cha­na­lys­tes s’empa­rent de la notion. Comment la pro­fes­sion peut-elle dia­lo­guer avec ces usages nou­veaux ?

Modalités pratiques

Les contri­bu­tions sont ouver­tes aux pro­fes­sion­nels des archi­ves comme aux autres pro­fes­sion­nels de l’infor­ma­tion et aux par­te­nai­res : res­pon­sa­bles admi­nis­tra­tifs, cher­cheurs, généa­lo­gis­tes, élus, artis­tes, etc.
Elles pour­ront pren­dre la forme de com­mu­ni­ca­tion de type scien­ti­fi­que, de retours d’expé­rience en ate­liers ou de « pos­ters »/affi­ches.

Si vous sou­hai­tez sou­met­tre une inter­ven­tion, veuillez-vous réfé­rer au mode d’emploi accom­pa­gnant cette pré­sen­ta­tion sur lequel vous pouvez y consi­gner votre pro­po­si­tion avant le 21 sep­tem­bre 2012 à l’adresse com­mune à l’ensem­ble du comité scien­ti­fi­que : forum­de­sar­chi­vis­tes@ar­chi­vis­tes.org

Comité scientifique

Sous la pré­si­dence de : Roger Nougaret (BNP Paribas)

Avec :
Michèle Battisti (ADBS)
Sophie Coeuré (Université Paris 7 – Paris Diderot)
François Giustiniani (Archives dépar­te­men­ta­les des Hautes Pyrénées)
Bénédicte Grailles (Université d’Angers)
Hélène Guichard-Spica (Archives natio­na­les)
Charles Hervis (Revue fran­çaise de Généalogie et d’Histoire des famil­les)
Jean-Philippe Legois (Archives com­mu­na­les de Saint-Ouen l’Aumône)
Ousmane M’Baye (EDF Archives)
Corinne Porte (Archives dépar­te­men­ta­les de l’Ardèche)
Claire Sibille de Grimouard (Service inter­mi­nis­té­riel des Archives de France)

Contacts

Alice Grippon et Aude Flores
(forum­de­sar­chi­vis­tes@ar­chi­vis­tes.org – 01.46.06.40.12)
Association des archi­vis­tes fran­çais
8 rue Jégo – 75013 Paris



 Documents à télécharger


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